Quand nous en serons au temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur…
ah ha… je t’ai surpris à chantonner…. vas y continue.. 😉
voudrais tu la deuxième strophe ?
Bernard
Le temps des cerises
Paroles: Jean-Baptiste Clément. Musique: A. Renard 1867
autres interprètes: Fred Gouin, André Dassary, Suzy Delair, Jean Lumière, Tino Rossi, Yves Montand, Nana Mouskouri, Colette Renard, Patrick Bruel (2002)
Jolie photo qui prouve qu’en Alsace, il y a des cerises et qui rappelle des souvenirs de boucles d’oreilles bon marché et tout à fait indolores. Mais qui a mangé le plus de cerises? Bernadette, Valentin à qui je souhaite un bon anniversaire, Nicolas ( bon anniversaire aussi) qui n’apparaît pas sur la photo, ou encore le merle? A moins que ce ne soit le photographe !!!
Pour un petit rappel historique, tu peux nous mettre le second couplet. Bonne dégustation en tout cas.
et voila…
Quand nous chanterons le temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête …
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur
Mais il est bien court le temps des cerises
Où l’on s’en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d’oreille …
Cerises d’amour aux robes pareilles
Tombant sur la feuille en gouttes de sang
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu’on cueille en rêvant
Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d’amour
Evitez les belles …
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai point sans souffrir un jour
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi vos peines d’amour
J’aimerai toujours le temps des cerises
C’est de ce temps là que je garde au cœur
Une plaie ouverte …
Et Dame Fortune, en m’étant offerte
Ne pourra jamais fermer ma douleur
J’aimerai toujours le temps des cerises
Et le souvenir que je garde au cœur
C’est en 1866 que le chansonnier et révolutionnaire Jean-Baptiste Clément écrit les paroles de la future romance Le Temps des Cerises. Né le 31 mai 1837 à Boulogne-sur-Seine, dans la région parisienne, ce fils d’un riche meunier avait rompu avec sa famille et gagna sa vie dès l’âge de 14 ans comme ouvrier monteur en bronze. Par la suite, il exerça divers métiers (marchand de vins, terrassier, journaliste) et s’installa Butte Montmartre à Paris. Militant pour la république, il connut très tôt les prisons impériales sous Napoléon III.