Nous avons vu Ouessant le week-end dernier: une île magnifique, encore sauvage, préservée par le parc naturel régional d’Armorique. Des côtes déchiquetées et une mer bleue et presque calme.
Donc, nous contestons l’adage: « Qui voit Ouessant voit son sang! »
Départ du Conquet et vue sur la Pointe St- Matthieu:
Arrivée sur l’île d’Ouessant:
Une île sauvage; des moutons mais pas de bergerie ni d’écurie: tout le monde reste dehors. Et des maisons avec peu d’ouvertures.
Des phares: phare de la Jument, de Nividic, de Creac’h et du Stiff.
Des côtes déchiquetées:
Et de la lande d’ajoncs et de bruyéres.
Il nous reste à y retourner le jour d’une vraie tempête!!!
Quand je suis arrivé à Sophia, mon voisin de bureau (& collègue de travail), était un breton natif d’Ouessant, expatrié dans le sud… Je pense que la rudesse de l’île avait marqué son caractère 😉
Peu de temps après, il est retourné en Bretagne, ne résistant pas au climat méditerranéen 😕
Trop de monde, trop de soleil et peut-être trop de richesse dans le sud! Tout cela a fait fuir ton collègue ouessantin. :/
Vivement les vacances… 😉