Jacques est en mission à Amsterdam…
mais moi, je vais vous relater un « hamster drame » local..
Ni plus ni moins de la version alsacienne du conflit de l’ours des Pyrénées (et là je sens que Vincent va se manifester ;-))
Oh ! il faut raison garder..!le grand hamster d’Europe ( Cricetus cricetus : dès qu »on colle quelques mots latins..cela permet d’élever le débat ) ne s’attaque pas aux brebis mais il est cependant l’ennemi juré des exploitants agricoles du Kocherscherg car il a la sale manie de faire des réserves de grain (juqu’a 40 kilos.. sacré verrat.. !)
et voilà que la guerre est ouverte entre écologistes ( car le grand hamster d’Europe est protégé au titre de la convention de Berne comme l’ours…) et exploitants agricoles
Le plus cocasse, c’est peut-être que l’autoroute de contournement ouest de Strasbourg ne se fera peut etre pas ?? parce qu’elle traverse un « territoire à hamster » , à la grande satisfaction des agriculteurs qui ne perdraient pas leurs terres.. 🙂
« agriculteurs, hamsters,ecologistes même combat contre le bitumage effrené de la plaine d’Alsace..! »
Je croyais que les hamsters vivaient tranquillement dans leurs cages, dans les écoles ou chez les particuliers, chouchoutés et loins de toute polémique écologique, politique ou environnementale!!!Ne se nourrissent-ils que de tournesol, et que fait-on de leurs peaux???
oh là ! Marie-France, tu es entrain de confondre le Grand Hamster d’Europe Cricetus (200 grammes ) animal sauvage protégé avec ses « petits » cousins ( c’est le cas de le dire, des minus 🙁 de 40 grammes… ) le hamster nain russe ou de Dzougarie et le hamster nain de Roborovski etc : c’est à dire les petits clowns qui s’amusent dans des cages ..
A ce propos cela ma fait penser à :
y a-t-il une différence ?? :ops:
question fourrure : faut que je me renseigne ???
Au Pérou, le Grand Hamster d’Europe Cricetus, que l’on appelle là-bas « Cuy » (je ne vous dirai pas comment ça se prononce…), s’accompagne de riz, maïs, patates douces… Et c’est bien bon! 😉
A mon avis bien « cuy » c’est pas mauvais…!
pourquoi pas on mange bien du lapin…
d’ailleurs les hamsters se multiplient comme des lapins 😉
Olivier : et que fait on des fourrures ?
Je connais, Olivier, le plat du Pérou dont tu parles; tu nous l’a expliqué et je connais aussi la prononciation du mot mais je n’avais pas fait le rapprochement entre la bête du Pérou et celle d’Alsace; comme quoi la cuisine est universelle ! Si on hôte la fourrure et que l’on cuisine la bête de la même façon, quelle différence entre le hamster, le ragondin et le lapin ??? Qu’en penses-tu Valentin?
Fado, tu te relâches;)(clin d’oeil); tu es sans doute trés préoccupée en tant qu’hôtesse attendant l’arrivée de nombreux hôtes par le bus de la compagnie Wentz Alsace-Bretagne.
Tout cela pour une histoire de petites bêtes auxquelles on ôte leur fourrure!!!!
Anmarie
Olivier sauf erreur de ma part, le « Cuy du Pérou » serait un cobaye « Cavias porcellus » et non un hamster « Cricetus cricetus 😉
ou alors j’en perds mon (lapin ) latin…
Jacques
que se passet-il sur Glaudinet il y a plus de photos 🙁
Bon, ok Bernard, les « Cuy » sont des cochons d’inde, mais bon, une fois dans l’assiette, on ne sait plus très bien… 😉
lI parait que le ragondin c’est fameux également : sur Internet il y a des recettes de terrine, de civet etc
sans parler de la fourrure….
Si j’avais parlé du ragondin, ce n’était pas sans fondement; nous avions un copain curé en Meurthe et Moselle qui faisait son jardin, allait à la pêche et cuisinait le ragondin: tout cela pour se nourrir.Un curé par ailleurs très attentif à ces paroissiens, et qui appliquait le message d’amour, de tolérance et d’attention aux plus paumés enseigné par l’évangile !!!